mercredi 12 septembre 2012

Les mémés "éphémères" d'Ella et Pitr

reportage
Parfois, elles s'ennuient ferme !
"même pas un bouquin pour passer le temps !"
mais, c'est apparemment assez rare,...même dans les conditions les plus précaires
...très précaires ! elles ne se laissent pas aller
"Oh !!! mé, y a ben toujours un tricot à mettre en route !!! pour l'dernier ou pour l'futurrr hein !!! mé, faut pas être comme la pov' Drienne, elle y voit-y bientôt pu ! beaussègne !! ...avec son "débit de cadarache", qu'il a dit le docteur !
mé, moi j'dis, y a des occupations à tout âge si on veut bien pas s'laisser ramollir !
...adaptées à nos âges bien sûr !
le sport, la danse  ou l'équitation, pour les plus volontaires,
ou des choses plus artistiques !!!
ou plus utiles, c'est selon !
parce que moi, j'dis qu'y a pas d'âge pour s'occuper, même des causes zumanitères, puisqu'on a même plus ! le temps, moi j'dis, que les jeunes qui travaillent, moi j'dis !
la première photo est de M.P. Redon

lundi 10 septembre 2012

Arles, au temps de la photographie ( 43 èmes Rencontres). (3))


Bien sûr, on pourrait se contenter de découvrir toutes ces photos que le programmme des Rencontres vous propose, mais bien entendu vous avez l'appareil en bandouillère, l'oeil qui frémit et s'étonne, et c'est parti :






Mais pourquoi se cantonner au "on",
dans le "off " on rencontre aussi quelques surprises :
Arles "classique"
Arles "opportuniste"
Arles "rigolo"
Arles "qui résiste"
Arles, où même Ella et Pitr s'invitent... à faire un peu de ménage (pour les initiés stéphanois)
les zombis  ?
 
mais un autre insolite aussi !



vendredi 7 septembre 2012

Arles, au temps de la photographie ( 43 èmes Rencontres). (2))

Nous connaissons, (voir parution précédente) le contexte des Rencontres et expositions. Place aux photos (qu'il est souvent interdit de .....photographier !
Elles sont accessibles, souvent dans de magnifiques lieux anciens (cloîtres,chapelles, musées, hotels particuliers) ou dans des espaces plus modernes (Van Gogh) ou "postmodernes" tel les Ateliers de la SNCF.
Ici, les pierres déchirent les regards, pétrifient les draps que soulève le vent des images d'Amos Gitai
Là, les hommes de Mehdi Medacci (voir Images sans images (2)) affichent les déchirures de l'exil.

Là encore, la photo parle de contrées improbables où la nature domine encore l'homme.

ou bien d'autres lieux que l'homme n'a pas fini de dévaster :
 Islande

 Rwanda : Témoignages de femmes qui "élèvent"les enfants des viols.
Puis par de brusques coqs à l'âme :


Devine qui vient diner ?
Marseille-Jericho (Valérie Jouve),

et retour presqu'incongru aux portraits "hyper" académiques.

ou encore à un éloge sophistiqué de la beauté !

ou...... ce genre de chose, qui, pour ceux qui me connaissent, plait beaucoup à mon oeil

Prochaine parution : mes photos "jfb-monoeil"