lundi 14 mai 2012

jeudi 3 mai 2012

Flight N° TP 105 at 16 : 30 : Come back to Lisboa

Le retour à Lisbonne il se fait par le même couloir aérien
et vous allez, avant l'atterrissage, survoler la ville  et juste avant, le pont du 25 avril, construit sous le règne de "Salazar" !
Pour ce qui est de Salazar, une libraire francophone de Lisbonne m'a appris que les années du dictateur avaient été surnommées par la population qui fourbissait ses oeillets, les années  3 F : F comme Fado, F comme football, et F comme Fatima : il en reste quelques traces !

"F" comme FADO





"F" comme football
"F" comme Fatima
Aho ! Ciao,
à bientôt !


mardi 1 mai 2012

Interlude : en attendant le 6 mai ....

C'est aujourd'hui le 1er mai et nous avons jugé bon de dire non à certaines ficelles électorales bien répugnantes de la part de notre Résident (pour quelques jours encore) de l'Elysée.
Et c'est vers 10 h 30 ce matin que nous quittions la rue Jeanne d'Arc ...


... pour rejoindre le défilé organisé à partir de la vraie Bourse du travail (à définir ?), à Saint Etienne.
On y apercevait beaucoup de monde et même quelques personnes connues de certains,


La "barricade" chantait, les slogans rivalisaient d'humeur ou d'humour,


et à un moment donné, on s'est même dit, que si même Pimkie avait compris et déjà intégré notre message, on pouvait peut être se risquer à être un peu plus optimiste encore :

Yes,You can... be a rebel, mais n'oubliez pas de voter le 6 !

samedi 28 avril 2012

Lis..bonus n° 1


Dans la ville blanche, la couleur chante aussi, et vous reviennent peut-être les écrits de Tabucchi, Lobo Antunes, Pessoa et ses sbires, Saramago aussi,  qui dans notre entre deux tours se rappelle à ma mémoire avec "[sa] lucidité" : plus de 80 % de bulletins blancs lors des élections !

vendredi 27 avril 2012

Est il vraiment allé à Lisbonne, mon oeil ?


Oui, c'était il y a un peu moins d'un an et c'est aujourd'hui seulement que me reprends l'envie de vous faire partager ce qu'il y a vu.
Et pour cela je me suis proposé de partir du thème que m'a suggéré le titre de ce film vu il y a longtemps et qui s'appelait "dans la ville blanche".





Elle est blanche, baroque et donne sur la mer, la ville, et de ses murs transpirent encore ses ambitions coloniales et missionnaires.





Le joli s'emmèle à l'académique, le kitsch à la banalité, et tout fait feu d'artifices.




A bientôt pour un autre regard sur Lisbonne