Mon oeil sur le confinement (1)

Par celui qui inventa l’intranquillité

" De tout, il resta trois choses :

la certitude que tout était en train de commencer,

la certitude qu’il fallait continuer,

la certitude que cela serait interrompu, 

avant que d’être terminé.

Faire de l’interruption, un nouveau chemin,

faire de la chute, un pas de danse,

faire de la peur, un escalier,

du rêve, un pont, 

de la recherche… 

une rencontre. " 

Fernando Pessoa cité par le site du TNP Villeurbanne

 

Pour l'illustrer : photos prises par monœil à Lisbonne en 2011

Mon oeil dans le rétroviseur (6)

8 décembre 2016

Lignes et fils (9) à Lisbonne (2011 - hors expo)

L'expo, c'est d'aujourd'hui à dimanche (vernissage ce soir)

1er avril 2016

Trompe l'oeil (3)

Beauté du diable (2),... à Lisbonne

Après avoir fouillé dans mes "bleus", j'ai décidé de traquer, ailleurs, la "beauté du diable", que je venais de découvrir, et Lisbonne, la catholique, m'a semblé un terrain bien  approprié ; je vous en laisse juge.

En revoyant ces photos, je crois, parfois, entendre , comme un rire cynique et satanique, mais peut-être cela n'est-il, en fait de diabolisme, qu'une manière de voir les choses un peu "à tord et de travers" ?! je profite de l'occasion pour rappeler à chaque visiteur qu'il a le droit de s'exprimer sur ce blog ! et que jieffebi en est, à chaque fois, "ravi", (comme "ravi de la crèche" ! mais c'est une autre histoire, peut-être à venir ?!)

Mon oeil à l'affût (1) : "au poste".

Beauté du diable ! (1)

Une chose était sûre, chaque fois que je tombais sur l'une de ces photos, et que je fouillais dans ce Dossier que j'avais baptisé "Couleurs : bleu",  je la trouvais belle, mais ne pouvais la rattacher à aucune des rubriques utilisées jusqu'alors pour les publier,

et puis je voyais bien que pour chacune d'elle, quelque chose que je ne pouvais définir me gênait  pour la faire connaître, même "sans titre" ! : ici c'était peut-être ce chewing-gum collé sur le trèfle !

Oui ! il y avait toujours quelque chose qui clochait : soit le sujet, trop pauvre, soit le cadrage, approximatif, ou une certaine beauté mais bien imparfaite ou contestable

et pourtant, ces couleurs, cette "reprise" involontaire des volutes de la céramique par le  vitrier, cette fois à Lisbonne, ou la solitude ce chien, posté à l'angle d'une rue du vieux Berlin, ça avait bien une certaine gueule, non ?

et ce Christ du Pilat, happé par les pylônes de l'EDF, je sentais que ça pouvait bien crier quelque chose d'intéressant ?

une constante commune, qui s'imposait à mon œil, mais quoi ?

Çà y est ! pensais-je tout à coup : tout ça n'est peut-être, bien, après tout !....

 que la recherche de ..... cette fois c'était sûr ... mais oui !!! de la beauté du diable !

Il y a ... (1)

Il y a..., le froid des regards manqués ; il y a ... , les roulements du tram sur ses rails métalliques ; il y a ..., ce coup de fil que l'on croise et ces lumières qui t(e)intent ; il y a..., ce passé qui s'accroche ; il y a..., cette langue qui nasille son fado ; il y a ..., Joana, qui dit que Lisbonne, ... "c'est pas si beau que Porto .... !"

Collections de mon oeil : enseignes, vitrines et devantures (2)

A Françoise et Lucien



Pour cette deuxième parution sur ma collection, je me propose de les "légender" à ma façon et vous invite si le jeu vous en dit à m'en proposer d'autres.

Les maisons ne sont pas à vendre ; les jouets des gosses non plus

A lire avé l'assent

déjà publié : pour le plaisir des anges !

Le message est sobre : à vous de le rester

pas très croquignol ?!



l'étaient elles vraiment ?

Etes vous sûr de vouloir retoucher ?

Ne restez pas tout nu, chez nous, habillez vous des pieds et de la tête

maison sereine



des merceries comme on en fait plus qu'au Portugal !

des bondieuseries comme on en trouvait qu'en Syrie

justifie la dédicace